Pour qu’un encadrant puisse juger de la capacité personnelle des agents de son service à télétravailler, il faut bien sûr qu’il ait pu juger sur pièces et pendant un temps suffisamment long des compétences et de la façon de travailler des agents de son service. C’est la raison pour laquelle la plupart des organisations publiques demandent une ancienneté minimum sur le poste (suivant les cas, de six à douze mois) avant de pouvoir accéder au télétravail.
Voir notre précédent article.
Se connaître avant d’accepter le télétravail
Cette connaissance du contexte de travail ne suffit pas toujours et c’est généralement le contenu de l’entretien annuel d’évaluation qui va déterminer la meilleure méthode pour justifier un éventuel refus. Si l’encadrant a déjà indiqué à l’agent les problèmes ou manques qu’il a repérés, il pourra s’appuyer sur cet entretien pour justifier le refus (ex. : « nous avions dit à l’entretien annuel qu’il y avait encore des progrès à ...
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La Lettre du cadre territorial
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