Article initialement publié le 19 avril 2019
Les directions générales (ou les Codir) sont sous pression : elles doivent donner le cap dans l’incertitude, être inventives pour maintenir un niveau de service public malgré des dotations en baisse, rassurer les équipes, faire preuve d’agilité et accompagner les évolutions (attentes d’horizontalité notamment) – le tout en équipe, de manière coordonnée, efficace.
Le poids des équipes dirigeantes (ou le paradoxe)
Or, les femmes et les hommes qui composent les collectifs de direction générale, comme les autres, rencontrent des difficultés à se comprendre, à communiquer, à se faire confiance. Comme les autres, ils traversent des phases de doute, s’interrogent parfois sur le sens de l’action. Comme les autres, ils sont démunis dans certaines situations conflictuelles ou face à certains actes de management.
Devenir directeur ou directeur général ne fait pas de la personne un professionnel du ...
Ce contenu est réservé aux abonnés
Déjà abonné ?
Connectez-vous
avec vos identifiants
La Lettre du cadre territorial
Pas encore abonné ?