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La Lettre du Cadre - édition Abonnés
Chicago est la troisième plus grande ville de la superpuissance américaine, et pourtant, une vague de chaleur l'a fait vaciller en 1995. Sans plan d’action, la ville n’a pu compter que sur l’entraide des habitants et le système D. Un véritable cas d’étude exploré par le chercheur Éric Klinenberg.
À l’époque, le phénomène était exceptionnel. La semaine du 13 juillet 1995, la ville de Chicago affrontait des températures oscillant entre 40 et 44 degrés par certains endroits de la ville. L’atmosphère, équatoriale, piégeait chaleur et humidité au sein des habitats. La razzia de climatiseurs et ventilateurs provoquait des records de consommation électrique, avec pour conséquence des coupures de courant à répétition sur des quartiers entiers. Jusqu’à 49[…]
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