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La Lettre du Cadre - édition Abonnés
Les collectivités sont bien obligées de réagir aux urgences de la crise énergétique en soutenant les populations. Mais elles ne doivent pas oublier d’agir sur les causes structurelles de ces difficultés. En menant de vraies politiques de réduction des dépenses énergétiques.
Hausse soutenue de la demande en énergie, diminution des stocks, désinvestissement chronique dans les énergies fossiles, tensions géopolitiques et manque de vent : l’effet cocktail de ces facteurs contingents, jusqu’ici inédit, a fait flamber les prix des carburants, du charbon, du gaz et de l’électricité. Le cours des matières premières (zinc, cuivre, aluminium, acier...) est au diapason. Mais la conjoncture de la crise énergétique en cours ne doit pas occulter les tendances structurelles, à commencer par les dysfonctionnements de la libéralisation des prix de gros du marché européen de l’énergie et la hausse du prix de la tonne de carbone.
Face aux risques croissants d’insuffisance de l’offre, sortir des combustibles fossiles apparaît comme une nécessité vitale et urgente pour le Vieux Continent
Il y a plus préoccupant. Lorsque le déséquilibre entre offre et demande
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