Christophe Guilluy
© Photo Pascal Ito © Flammarion
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéThéoricien de la « France périphérique », Christophe Guilluy s’est intéressé à un modèle métropolitain qu’il juge « à bout de souffle ». Incapable de permettre aux classes populaires de trouver leur place dans la société, il a aussi dépossédé les élus des territoires de bordure de tout pouvoir. Le sociologue prédit un changement à venir.
Vous avez décrit pour la première fois en 2014 le concept de la France périphérique. Comment en êtes-vous venu à travailler sur le sujet des classes populaires sacrifiées, bien avant la crise des gilets jaunes ?
Au début des années 90, je travaillais sur des questions de gentrification et de politique de la ville : ces quartiers d’ouvriers colonisés par des plus riches. Cela m’a amené à m’interroger au[…]
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