© Daniel Rapaich ville de Lill
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous à La Lettre du Cadre - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéEt si on faisait des écoles le lieu de l'éducation citoyenne à l'environnement. De plus en plus, les collectivités s'y mettent à l'occasion de nouveaux projets architecturaux résolument placés du côté de l'écoconstruction.
La « cour Oasis », nouvelle lubie des collectivités ? Loin du sarcasme, il faut plutôt se réjouir que les communes, quelles que soient leur taille et l’orientation politique de leurs édiles, semblent se lancer franchement dans une nouvelle manière de voir l’école. Après des années de toute puissance du fonctionnalisme, les voilà qui découvrent, et mettent en œuvre, les bienfaits d’équipements adaptés aux chaudes années qui s’annoncent.
Mais pas seulement : elles se lancent dans une forme de « transformation de leur territoire par l’éducation » qui suppose à la fois de travailler sur des formes nouvelles de l’école (fini les longs couloirs donnant sur de multiples classes, bonjour les locaux partagés, les matériaux à forte ambition environnementale), mais aussi sur des projets pédagogiques ambitieux, qui forment les petits citoyens de demain à une responsabilité écologique que leurs aînés ont tant de mal à concrétiser. Une « pédagogie concertée » qui a de l’avenir.
Voyage du coté de Bruges (Gironde), dans une école à énergie positive, à Bourvron, dans un établissement en partie construit par les élèves, dans un collègue du Doubs, où les édos se forme à la gestion écolo, et à Lille,
