Image spectaculaire captée par ESPADA : l’entonnement du cadereau d’Alès, aux portes du centre-ville, lors de la crue du 10 octobre 2014
© Ville de Nîmes
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La Lettre du Cadre - édition Abonnés
La capitale gardoise garde le souvenir meurtri des terribles inondations du 3 octobre 1988, où les orages avaient causé la mort de neuf personnes, en en laissant 50 000 sans toit. En 2004, la mairie s’est dotée du dispositif ESPADA pour éviter que le déchaînement des éléments ne produise d’effets aussi dramatiques.
À Nîmes (Gard), quand le ciel gronde, les souvenirs remontent à la surface. « Nîmes est un territoire particulièrement exposé aux phénomènes de type crues éclairs associés aux cadereaux, fossés collectant les eaux de ruissellement de petits bassins-versants extrêmement réactifs et traversant la ville », explique Guillaume Pla, chef de projet « prévision des inondations » à la mairie de Nîmes. Pour essayer de limiter les dégâts, en 2004, la[…]
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