La fédération syndicale Fnec-FP-FO estime que les mesures d'urgence du ministre Peillon « ne sont pas à la hauteur des difficultés rencontrées sur le terrain ». Le syndicat FO des personnels de l'éducation compare les « 1.000 postes » créés dans l'enseignement primaire à la rentrée, aux «14.000 ont été supprimés au budget 2012 dans toute l'Education nationale ». Il juge donc « urgent de geler les suppressions de postes ».
« Il est urgent que de réelles marges soient données en termes de postes et de moyens pour que les classes soient rouvertes, en maternelle, dans le primaire ou le secondaire », revendique FO, qui réaffirme aussi sa demande « d'une revalorisation des salaires ». Et dire que le PS passe pour irresponsable à l'UMP !