Comme beaucoup d'autres agglomérations, celle de Grenoble a publié ses cartes de bruit et son Plan de prévention des bruits de l'environnement.
Elle a donc souhaité compléter cette approche par un réseau permanent de mesure qui soit orienté vers l'action opérationnelle, notamment au travers d'un partenariat avec l'agence d'urbanisme.
L'idée est que le bruit devienne rapidement une composante de la politique de l'agglomération au même titre que l'air, l'énergie, le climat, le paysage ou la biodiversité.
L'observatoire permettre d'une part une compétence technique mutualisée entre ces différents espaces (ville centre, zones périphériques naturelles) et d'autre part, un dialogue entre les gestionnaires d'infrastructures pour résorber les principaux points noirs.