Le TA de Montpellier a condamné la commune de Brousses-et-Villaret à verser 10 000 euros à un agent victime de harcèlement moral de la part du maire, Pierre Inard (qui a démissionné en octobre 2008, après 31 ans passé à la tête de la commune). L'élu qui reprochait à l'agent d'avoir soutenu une opposante aux municipales de 2001, avait entrepris de « l'écoeurer » pour le pousser à la démission. Brimades, tâches « ingrates », suppression de prime... et même affichage sur un panneau municipal d'un avis médical - confidentiel - concernant l'agent de retour, en mi-temps thérapeutique, après un épisode dépressif ! La commune devrait engager une action visant à faire établir la « faute intentionnelle » du maire et obtenir que l'indemnisation de l'employé harcelé soit mise à sa charge.
Harcèlement coupable
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