Julien Fosse, président de l'Inrae dans les Hauts-de-France
© Thierry Marr
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Pour le chercheur, l'artificalisation des sols par la construction de logements est une tendance historique lourde en France. Notamment sous l'effet de la massification de la voiture. Il est temps d'inventer un nouveau modèle urbain.
Comment pourrait-on résumer l’histoire de l’habitat en France et son impact sur les terres agricoles ?
On observe une artificialisation des sols d’environ 30 000 hectares par an. La tendance de fond reste une stabilité de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers. Cela met en évidence des politiques historiques de soutien à la construction neuve, donc à l’artificialisation des sols. Après la seconde guerre, les bourgs ruraux étaient denses, avec des maisons à étages entourées de terres agricoles.[…]
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