©
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous à La Lettre du Cadre - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéÀ l’origine de tensions dans les quartiers, d’échec scolaire et de pauvreté, le manque de mixité sociale est un mal dont il faut se défaire. Cette idée est communément admise, mais il est difficile de définir cet ingrédient indispensable à la cohésion sociale et à l’égalité des chances. Seul son contraire, la ségrégation, est mesuré.
« On ne sait pas ce qu’est la mixité, et surtout, on ne sait pas la définir au niveau national », remarque Alice Collet, chargée de mission cohésion sociale et gestion urbaine à l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU). D’ailleurs, le niveau auquel mesurer la mixité sociale a évolué au cours du temps. « Au départ, l’Insee réalisait ses travaux à l’échelle de la ville, mais il existe des villes où[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 4 76 65 93 78 (du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@territorial.fr