Le tribunal administratif de Marseille va examiner la requête d'un habitant qui demande que la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) abroge la règle du "fini-parti" dont bénéficient les agents chargés de la collecte des ordures, relançant ainsi la polémique sur la propreté de la ville. Avocat au barreau, Benoît Candon explique avoir déposé un recours pour "excès de pouvoir" en tant que "contribuable et simple usager", après une première demande d'annulation auprès de MPM en septembre 2009, restée sans résultat.
Le "fini parti" de Marseille devant le tribunal
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