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Notre jeune et nouveau président de la République s’est auto-institué « Maître des horloges ». Il s’agit ne pas se faire imposer le « temps médiatique » des chaînes d’information en continu.
Un calendrier électoral impossible
Mais force sera à l’exécutif, s’il a une majorité parlementaire, d’être en effet un maître des horloges… en matière électorale. D’une part, il devra tenir sa promesse concernant l’insertion d’une dose de proportionnelle (avec sans doute une baisse du nombre de parlementaires). D’autre part, et surtout il devra gérer ou rationaliser un calendrier électoral actuel impossible.
Le report des élections sénatoriales n’aura pas lieu, le président de la République l’a acté.
Certes faut-il tordre le cou de la rumeur sur un possible report des élections sénatoriales prévues pour la fin de ce mois de septembre : ce report n’aura pas lieu, ainsi que le président de la République l’a acté.
La redoutable deuxième partie de mandat
Reste la suite… laquelle s’avère redoutable au fil de la — toujours délicate — seconde moitié de mandat présidentiel :
Va-t-on vers un grand regroupement en 2020 ou 2021 ?
L’exécutif n’aura-t-il pas intérêt à regrouper des élections ? Par exemple en un grand regroupement en 2020 ou 2021 ? Ô temps électoral, suspends ton envol… ou au moins ta course folle…