Le 29 avril 1995, en vue de l'organisation de la Coupe du monde de 1998, Edouard Balladur signait le contrat de concession entre l'Etat et le consortium Grand Stade (rebaptisé depuis consortium Stade de France) composé alors de Bouygues, Dumez et SGE, qui, en 2000, deviendra Vinci.
Un contrat illégal dès l'origine