Au lieu de laisser des chardons ou des pissenlits pousser naturellement au pied des trottoirs, certaines villes plantent des coquelicots
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéL’utilisation des plantes horticoles est de plus en plus contestée sur le plan de la protection de la biodiversité. Une poignée de collectivités a pourtant choisi d’utiliser des plantes indigènes, à contre-courant des critères esthétiques dominants. Un choix qu’il faut expliquer aux habitants.
Pour végétaliser leurs espaces verts, la plupart des collectivités utilisent des plantes horticoles prisées pour leurs qualités décoratives. Avec leurs couleurs chatoyantes diversifiées, ces dernières peuvent sembler attrayantes pour l'œil humain. Mais elles ne sont pas forcément utiles aux abeilles et insectes pollinisateurs. Le plus souvent, c’est même le contraire : « le bleuet sauvage avait à l'origine cinq pétales. À cause de la sélection des plants pour des[…]
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