De nombreux aménagements ou microsystèmes peuvent maintenir ou même favoriser la biodiversité : ce sont par exemple, les jardins creux, les parcs inondables, les berges ou les plans d'eau permanents...
Mais, actuellement, tous ces projets n'intègrent pas (pour la plupart) un véritable suivi permettant de mesurer leurs impacts en ce domaine.
C'est dans ce contexte que la Communauté urbaine Lille métropole s'est fixé comme objectif d'élaborer un IRB, un indice relatif de biodiversité. En cours de constitution, cet IRB sera actualisé tous les deux ans afin de permettre de mesurer les conséquences des aménagements au regard d'un état initial.