Marie-Christine Jaillet
© Jean-Pierre Djivannides
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La Lettre du Cadre - édition Abonnés
Marie-Christine Jaillet, directrice de recherche au CNRS, travaille sur les politiques sociales et les villes. Elle est aussi responsable scientifique du programme Popsu métropoles. Pour elle, l’après-Covid redéfinit le cadre d’une métropole plus désirable.
Pouvez-vous nous présenter en quelques mots Popsu ?
La Plateforme d’observation des projets et stratégies urbaines – Popsu – croise les savoirs scientifiques et l’expertise opérationnelle pour mieux comprendre les enjeux et les évolutions associés aux grandes agglomérations françaises, en particulier dans leurs rapports avec les autres territoires. Elle capitalise, à des fins d’action, les connaissances sur les trajectoires des métropoles confrontées aux transitions et la manière dont elles font évoluer leurs relations avec leur environnement et les autres collectivités. Elle en assure la diffusion auprès de publics divers : professionnels, académiques, grand public…
C’est un programme qui en est à sa troisième saison et cette dernière a été lancée il y a trois ans. L’objectif est de mettre en place une observation continue
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