D’un coté, des élus comme Christian Estrosi, qui souhaite que sa ville soit une « safe city » emblématique, dans laquelle la technologie est utilisée sans état d’âme pour vidéosurveiller. Dans l même camp, le secrétaire d’Etat Cédric O, pour qui le sort des entreprises françaises prime sur les questions de libertés publiques. De l’autre, ceux à qui la surveillance de masse fait froid dans le dos et qui pensent que tous les instrument qui la facilitent nous promettent un sombre avenir, et qu’on prépare là les outils dont un pouvoir autoritaire serait ravi de s’emparer pour asseoir contrôler les citoyens. Alors pour ou contre ? A vous de voter… et de commenter.