© rôme Rommé - stock.adobe.com
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous à La Lettre du Cadre - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéCommander du bio ou des produits alimentaires à labels de qualité, c’est facile, c’est écrit sur l’étiquette. Quand il s’agit de commander du local, on se heurte à des écueils : les repérer, avoir les quantités suffisantes mais surtout, savoir exprimer ce souhait dans un marché public sans pouvoir le formuler explicitement. Équation complexe.
« Du miel est directement arrivé dans la cour de l’école. Il n’y avait qu’un seul intermédiaire, mais il venait de Chine ! », s’amuse Jean-Michel Bouat, adjoint au maire d’Albi. Le bio « en circuit court » du bout du monde n’a aucun sens, mais la loi Egalim ne dit pas que le circuit court est de proximité, juste qu’il ne faut pas plus d’un intermédiaire entre le producteur et l’acheteur final. Ce texte,[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 4 76 65 93 78 (du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@territorial.fr