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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéPar Soraya Benyahia et Michaël Verne
Par l’expression « repas de substitution », ou « repas différenciés », sont communément désignés les plats proposés en alternative à ceux contenant de la viande. Servis dans les services de restauration collective publics, ils peuvent se trouver confrontés aux principes de neutralité et de laïcité des services publics. Le point sur la jurisprudence.
Tout au plus une circulaire administrative
À l’origine, les repas de substitution avaient vocation à proposer une protéine animale alternative à la viande de porc, à destination des usagers qui n’en consommaient pas pour des raisons religieuses. Leur champ d’application s’est, depuis, étendu puisqu’il peut, aujourd’hui, s’agir de proposer une[…]
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