Sonia Lavadinho désigne par « ligne de désir », la courbure optimale du tracé qu’un piéton laisse dans son sillage lorsqu’il est totalement libre de son mouvement. Cela peut se traduire par une trouée dans une haie, un sentier de terre qui traverse une pelouse publique. Pour elle, il faut repenser la ville dans son ensemble et redonner sa place au piéton.
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Que pense une « spécialiste de la marchabilité », comme vous vous définissez, de la place croissante du vélo en ville ?
L’essor du vélo est une bonne chose pour le climat et la santé, mais il reste un mode personnel de déplacement. Et contrairement à la marche, il a une barrière à l’entrée : son coût, la capacité à monter dessus, à le réparer, à se sentir en[…]
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