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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéQuelle ville n’a pas rêvé d’être (enfin) riche ou mieux encore de le rester ? Mais au fond, à quoi cela sert-il vraiment d’être une ville riche ? N’y-a-t-il pas au final plus d’inconvénients que qu’avantages ? Ville industrielle dotée de nombreux sièges sociaux, capitale régionale recherchée, commune moyenne en voie de gentrification “bobo” ou encore station de montagne huppée : si les profils des villes “riches” que nous avons rencontrées apparaissent à chaque fois très différents, toutes partagent néanmoins une même interrogation : comment éviter de devenir une “ville de riches” ?
Maîtrise de l’offre de commerces ou de celle des logements, orientation des services publics en direction des populations les plus modestes (notamment en faveur des agents de la collectivités des catégories B et C), ces communes utilisent de nombreux outils pour reprendre leur destin (doré) en main. Tour d’horizon des problématiques soulevées et des solutions apportées.