Nicolas Garnier, délégué général d’Amorce
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous à La Lettre du Cadre - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéAlors que la loi Agec impose aux collectivités de trier les biodéchets à la source dès 2024, les objectifs paraissent inatteignables. Les freins financiers sont prégnants estime Nicolas Garnier, délégué général d’Amorce, qui propose quelques pistes pour lancer enfin la filière.
Pourquoi selon vous la filière de collecte des biodéchets se développe-t-elle aussi lentement ?
Nicolas Garnier : Ce n’est pas simple de faire adhérer une population à un dispositif de collecte supplémentaire. Le gisement des emballages est sensiblement le même que celui des déchets organiques (environ 70-80 kg par habitant) et nous avons mis 25 ans à intégrer le geste de tri des emballages dans le quotidien des Français. Dans le cas des biodéchets, le surcoût est estimé entre[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 4 76 65 93 78 (du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@territorial.fr