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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéCe matin, j’apprends que l’un de mes collaborateurs a été arrêté pour une durée indéterminée. Mon assistante m’apprend que ce dernier, depuis plusieurs semaines, « ne se sentait pas bien », qu’il « n’en pouvait plus ». Je suis d’autant plus surpris que je ne me suis aperçu de rien, pris par mon quotidien. Bref, je tombe des nues.
Lire aussi : Soigner le travail plutôt que les salariés pour en finir avec les risques psychosociaux
Je m’interroge donc sur mon comportement et sur celui de mon collaborateur. Je sais pourtant parfaitement que les raisons de la souffrance d’un agent en milieu[…]
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