Ces espaces libérés en périphérie attirent promoteurs, investisseurs mais aussi collectivités qui rêvent tous - pour des raisons différentes – de profiter de ces nouveaux terrains de chasse
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement La Lettre du cadre - édition AbonnéEn France, les entrées de villes sont des enfilades de zones artisanales ou industrielles plus ou moins désaffectées. Ici un bout de terrain agricole, là des lotissements ou des barres d’immeubles, puis des routes parfois très larges, des espaces où piétons ou vélos ne sont pas les bienvenus. Ces zones de périphérie urbaine abritent 30 % de la population française. Pourtant, elles ne sont ni jolies, ni agréables à vivre.
Comment en est-on arrivé là ? Les zones commerciales périurbaines se sont surtout développées dans les années 1990-2000 avec la loi n° 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains, dite loi SRU. Avant cela, l’accès à la maison individuelle avait contribué à l’étalement urbain, portée par des[…]
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