Le verdissement entraîne la spéculation immobilière, la hausse des coûts du logement et le déplacement d’une partie des habitants
© Steve Greer / SteveGreerPhotography.com
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La Lettre du Cadre - édition Abonnés
Apaiser les villes, écarter les voitures, planter des arbres et renaturer : quand le cadre de vie s’améliore, l’impact sur le bien-être des riverains est réel. Mais il participe à un processus de gentrification qu’il faut prendre en compte.
Comment améliorer le bien-être des habitants sans en chasser les plus pauvres ? Beaucoup de villes sont confrontées à cette équation. Un terme est même né : celui de la « gentrification verte ». Les conséquences financières sont palpables, selon des études menées notamment aux États-Unis. Ainsi, l’économiste Geoffrey Donovan a étudié la relation entre le nombre d’arbres et le prix de vente des maisons de la ville de Tampa, en Floride. En utilisant des modèles permettant d’écarter l’influence d’autres[…]
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