La municipalité a installé en 2010 une dizaine de caméras de surveillance pour protéger ses bâtiments publics. Elle doit aujourd'hui appuyer sur le bouton « stop ». La commune a en effet omis d'obtenir une autorisation d'exploitation du réseau de la commission départementale de vidéo proctioten et la publication d'un arrêté préfectoral. « Un concours de circonstances malencontreux », plaide la ville. D'autant plus ennuyeux que des images ont été visionnées dans le cadre d'une enquête sur un vol.
Vidéosurveillance : Gaillac trop pressée
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